Il refuse un poste d’ambassadeur au Brésil pour son chien

Amener son chien au bureau est « tendance ». Angelino Garzón, vice-président colombien, vient pour sa part de décliner un poste d'ambassadeur au Brésil. Afin de ne pas nuire au bien-être de son chien... trop poilu ! 

Amener son chien au bureau est « tendance ». Ce serait même un "anti-stress" pour certaines entreprises

Dès lors que l’on obtient l’accord de son patron et sous réserve bien entendu que le chien ne soit pas à l’origine de nuisance et qu’il n’importune pas les collègues. Ou soit une entrave à la bonne marche de l’entreprise.

Angelino Garzón, vice-président colombien, vient pour sa part de décliner un poste au Brésil. Un poste pourtant très prisé puisqu’il s’agissit de celui… d’ambassadeur.

Motif : le bien-être de son chien, un berger allemand, passe avant toute chose !

« Mon chien est très poilu », a-t-il très sérieusement expliqué à la BBC. Selon lui, son chien n'aurait jamais pu s'adapter au climat brésilien.

Un climat qui aurait pu faire souffrir le chien, a encore assuré Angelino Garzón dans un entretien accordé au magazine colombien La Semana.


Un chien qui rompt la bonne entente diplomatique  ! 


Très vite, cette déclaration a fait scandale en Colombie, dont le Brésil est l’un des principaux partenaires commerciaux.

La ministre des affaires étrangères s’est confondue en excuses officielles envers son voisin du Sud.

Mais coûte que coûte, le vice-président n’en démord pas. Et il maintient l’excuse du chien pour refuser le poste : « Ce chien n’est pas la propriété du gouvernement colombien. Où qu’Angelino [Garzón ] aille, il le suit », a-t-il déclaré, usant alors de la troisième personne.

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